2019
Une édition
à ne pas manquer !
UFCTC 2019 #LeCinémaDansLaPeau
Du 11 au 18 octobre, Nice se transforme en ville de cinéma avec l’incontournable événement cinématographique de la rentrée organisé par l’association Héliotrope :
Un festival c’est trop court ! (UFCTC 2019).
Pendant une semaine, des auteurs émergents venus des quatre coins de l'Europe seront à l’honneur dans 7 lieux emblématiques de la scène culturelle niçoise : TNN, MAMAC, BMVR, Cinémathèque, Cinéma Mercury, Villa Arson, CCI.
Au programme, des films de 1 à 59 minutes, de la fiction, du documentaire, de l’animation, de la vidéo-art.
Projections quotidiennes, rencontres avec les réalisateurs, actions scolaires, débats et tables rondes, 4 compétitions (Européenne, Expérience, Courts d’Ici, Animation) et 12 prix rythmeront le festival.
Et, en cette année particulièrement spéciale pour le 7ème art à Nice, la 19ème édition d’Un Festival C'est Trop Court! s'inscrit également dans les célébrations du centenaire des studios de La Victorine. Un programme spécialement conçu par les étudiants de l’ESRA Côte d’Azur sera projeté en exclusivité.
D’autres anniversaires honorent le festival et c’est le public qui aura en cadeau des films courts, rares et exceptionnels pour fêter ces dates : les 20 ans du Prix Polar SNCF, les 30 ans du BREF (revue éditée par l'Agence du court métrage) et les 50 Ans du GREC (Groupe de Recherches et d'Essais Cinématographiques). Parmi les perles, il y aura aussi 6 films autour de la danse choisis par La Compagnie Humaine qui nous accompagne encore cette année pour enrichir d’émotions le Festival.
Invité spécial de cette édition, Jean-François LAGUIONIE, l’un des plus importants cinéastes de films d'animation français, qui nous amène toute la poésie cinématographique de Les Mondes Imaginaires, une décennie de création regroupée en une histoire. Projection et rencontre à la cinémathèque le jeudi 17 octobre à la Cinémathèque.
Lumière aussi sur la Cérémonie d’ouverture le vendredi 11 octobre au TNN.
Ciné-concert et performance en hommage à Jean Vigo et à son film À propos de Nice (1930). Considéré comme un poème filmé, un point de vue documenté, un manifeste social, ce film sera le point de départ d’une édition qui déclare et assume sans pudeur son amour pour le cinéma. Qui le vit intensément et courageusement, qui le sent dans la peau, qui le partage avec toutes et tous sans modération ni censure.
Place aux rêves et aux rêveurs. Vive(z) le cinéma !